Combler le fossé : comment aligner les équipes sécurité et développement pour de meilleurs résultats
Pour de nombreux dirigeants technologiques, la tension entre les équipes de sécurité et les équipes de développement est aussi familière que coûteuse. Les développeurs sont poussés à livrer vite et à innover. Les équipes sécurité, elles, doivent réduire les risques, assurer la conformité et empêcher les vulnérabilités d’atteindre la production.
Deux missions critiques… mais souvent perçues comme opposées.
Ce décalage peut entraîner des retards de livraison, des frustrations internes, voire une exposition accrue aux menaces. Pour les dirigeants, la question est claire : comment faire en sorte que la sécurité devienne un catalyseur — et non un frein — pour le développement ?
D'où vient le décalage ?
Les équipes de développement et de sécurité ont souvent des priorités, des outils et des langages différents :
Les développeurs sont évalués sur la rapidité, l’innovation et l’impact produit. Ils se sentent freinés lorsque la sécurité intervient trop tard dans le cycle.
Les équipes sécurité sont évaluées sur la réduction des risques et la conformité. Elles sont souvent en mode réactif, confrontées à des vulnérabilités juste avant la mise en production.
Sans alignement, on obtient : des arriérés de vulnérabilités, une sécurité traitée en urgence, et une perte d'efficacité globale.
Pourquoi l’alignement est un enjeu stratégique
Lorsque la sécurité et le développement avancent ensemble, les organisations peuvent :
Réduire le time-to-market sans compromettre la sécurité.
Renforcer la confiance auprès des clients et des régulateurs.
Réduire les coûts en traitant les vulnérabilités plus tôt.
Favoriser l’innovation en toute sérénité.
Cela ne repose pas uniquement sur la culture : il faut un environnement opérationnel et des outils adaptés.
Chainguard : un levier pour l’alignement
Chez Chainguard, nous éliminons les principaux points de friction entre les développeurs et les équipes sécurité. Nos images de conteneurs sont :
Minimales et durcies – Un strict nécessaire, moins de surface d’attaque.
Sans CVE par défaut – Rebuilds nocturnes, scans horaires : plus de 97 % des vulnérabilités éliminées en amont.
Signées et accompagnées d’un SBOM – Transparence complète, conformité facilitée (FedRAMP, PCI, HIPAA, FIPS, etc.).
Les bénéfices ?
Pour les développeurs : des bases saines, sans vulnérabilités critiques, pour coder sans contraintes.
Pour les équipes sécurité : moins de risques en amont, plus de visibilité, et une conformité simplifiée.
La sécurité n’est plus une étape bloquante en fin de cycle : elle est intégrée dès le départ.
Le plan d’action pour les leaders
Pour améliorer la collaboration entre les équipes, concentrez-vous sur :
Des objectifs partagés – Allier vitesse et sécurité dans les KPIs.
Une intégration en amont – Inclure la sécurité dès la conception.
Des outils adaptés – Offrir une sécurité invisible mais fiable.
Des bons indicateurs – Suivre le temps de correction, pas juste le nombre de vulnérabilités.
Une culture commune – Encourager l’apprentissage, la confiance et la coopération.
Chainguard vous aide à concrétiser ce plan, en fournissant des fondations sécurisées, compréhensibles et maintenables pour les deux équipes.
En résumé : Votre rôle en tant que dirigeant est de transformer sécurité et développement en alliés. Chainguard élimine les obstacles historiques entre ces deux mondes — pour des livraisons plus rapides, une meilleure posture de sécurité, et des résultats business mesurables.
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